30 août 2010
Pablo Neruda
"Je touche la haine comme une poitrine diurne, moi sans arrêt, de vêtement en vêtement j’arrive de loin endormi. Je ne suis, ne sers, ne connais personne, je n’ai pas d’armes de mer ni de bois, je ne vis pas dans cette maison. De nuit et d’eau ma bouche...